Pour sauver le climat, la solidarité et la biodiversité, on ne partira pas en guerre parce que le défi auquel on fait face n'est pas de ceux que l'on gagne avec des tanks et des généraux.
Le froid piquait mais le temps était clair. En arrivant, à vélo, à l’arrêt de bus, à un peu moins de 50 km de mon lieu de travail, je me suis dit « chiche, poursuivons jusqu’au bout en pédalant ».
Les deux hommes partagaient, avec le ciel gris d’un mois d’octobre, ce talent patenté pour vous plomber une journée aussi sûrement que la notification vous rappelant votre rendez-vous pour une coloscopie.
Alors tu vois, Jack, c’est pour cela que j’ai l’intime conviction que le monde change, par ton regard et par celui de dizaine d’autres enfants qui grandissent en sachant très bien que les lucioles ne sont pas éternelles mais qu’elles resteront visibles tant qu’il restera des enfants pour les attendre aux soirs de juin, tant qu’il restera des parents pour se battre avec eux pour ce qu’ils leur ont révélé : l’inestimable richesse et l’insondable beauté du monde.